lundi 9 juin 2008
festival international du film des droits humains
vendredi 6 juin 2008
Lancement du Portail MSN Maghreb
Ce nouveau portail, créé en joint-venture entre Microsoft et LINKdotNET (opérateur de MSN Arabia et filiale dÆOrascom) offrira "le meilleur contenu dÆinformations et de divertissement global et local et donnera accès au plus célèbre et au plus complet des fournisseurs de services en ligne", ont indiqué ses concepteurs au cours d'une conférence de presse.
Les services de MSN Maghreb seront offerts en langue française à destination des utilisateurs du Maroc, de Tunisie et d'Algérie. D'ores et déjà Windows Live messenger compte quelque 3,6 millions d'usagers au Maroc et un total de 5 millions à l'échelle de ces trois pays du Maghreb.
La particularité de ce portail est de permettre au public maghrébin l'accès instantané à des informations internationales et régionales de dernière minute sur l'actualité du spectacle, du sport et de la consommation.
Par la suite, MSN Maghreb permettra aux visiteurs d'avoir accès aux services Windows live messenger, Windows live hotmail ou encore Windows live spaces.
Pour le PDG de Microsoft, le Maghreb est un marché très porteur grâce à sa population, l'une des plus jeunes au monde et pour laquelle les services en ligne deviennent un élément central de la vie quotidienne.
14ème Rencontre Sijilmassa du Melhoun
Le programme de cette manifestation, organisée par le Ministère de la Culture en partenariat avec la province d'Errachidia, prévoit plusieurs manifestations autour de l'art du melhoun.
Plusieurs concerts seront ainsi donnés lors de cette édition avec la participation des orchestres et troupes du Melhoun les plus en vue sur la scène nationale. Cette édition connaîtra ainsi la participation des associations Si Thami M'daghri (Fès), Haj Omar Berri (Taroudant), Ahmed Bourqia (Azemmour), Ziryab (Oujda), Al Walae Al Filali (Errachidia), Al Assala (Meknès) et Al Watar de musique (Salé).
Le programme prévoit également un hommage à l'artiste Mohamed Laanaya, une conférence sur le Melhoun, animée par MM. Abdelilah Laghzaoui et Salem Abdessadeq, ainsi qu'un concours de chant de melhoun pour les enfants.
La région du Tafilalet est considéré par plusieurs spécialistes comme berceau de cet art qui célèbre la magie du verbe en arabe dialectal marocain. Plusieurs grands poètes chanteurs légendaires du Melhoun sont issus de cette région.
samedi 19 avril 2008
Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle
La Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle se compose du Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle -CSCA-, instance délibérante de la HACA , et de la Direction Générale de la Communication Audiovisuelle -DGCA-, structure administrative et technique de la HACA.
dimanche 16 mars 2008
BEATBOX ???
Origines
Imiter de la musique instrumentale avec la bouche est une pratique répandue dans un certain nombre de musique traditionnelles. Les premières apparitions de cette technique dans les musiques populaires modernes viennent avec le swing, jazz, groove, etc. ses nouvelles musiques rythmées du XXe siècle qui donnaient envie de bouger les pieds et la tête. Pour les musiciens, notamment les batteurs, le langage technique du rythme buccale était très pratique.
Au début des années 1970, dans le Bronx, apparaît le mouvement artistique, culturel et social du Hip-hop: Musicalement, il correspond au MCing, et au DJing, ce qui, ensemble, finit par donner le Rap.
Le human beatbox apparaît quelques années plus tard dans un ghetto de New York. Le fait d'imiter le rythme est toujours là, mais la musique rap face aux musiques des décennies prédédentes à la particularité d'avoir un "beat" (rythme) qui frappe plus encore qu'une batterie, avec de lourdes basses et des caisses claires qui claquent.
Avec cette nouvelle musique au rythme programmé qui est l'élément principal après le sampling et les scratchs, apparaît une technique particulière d'imitation du son du kick et de la caisse claire à l'aide des lèvres: la technique du Beatbox telle qu'on le connaît est née.
C'est l'apparition des premières boîtes à rythme électronique et l'expansion du MCing à travers la côte Est des États-Unis. Ainsi, cet art nouveau devient l'imitation de boîte à rythme faite par des boîtes à rythmes humaines: Human Beatbox.
Il trouvera son utilité pour les MCs qui pourront poser leur phase n'importe où et n'importe quand, pouvant écrire avec toujours un rythme en tête sans forcément avoir les moyens financiers de posséder une véritable boîte à rythmes.
Expansion
Au début des années 1980, le human beatbox devient reconnu aux États-Unis grâce au Fat Boys "Brrrrou Stick'hem", les figures emblèmatiques sont alors Doug E. Fresh et Biz Markie. Le human beatbox se développe alors aussi en Europe, représenté par les Fabulous Trobadors en France.
Dans le même esprit que les battles de rap apparaissent les battles de beatbox à un contre un où le vainqueur est désigné par l'enthousiasme du public.
Pendant les années 1990, avec l'apparition de nouvelles musiques électroniques telles que la techno, la drum'n'bass, etc. les enfants commencent le beatbox très jeune sans connaître sa réelle existence. La rencontre entre ce qu'ils savent déjà faire et la véritable technique du beatbox donnera les meilleurs beatboxers d'aujourd'hui.
A ce moment, le beatbox est un phénomène nouveau qui s'étend dans l'underground du Monde entier. Ce sont les débuts des têtes d'affiche d'aujourd'hui telles que Rahzel the Godfather Of Noise, avec le groupe de rap alternatif The Roots. C'est le beatboxer le plus connu au Monde à l'heure actuelle. Les talents de producteurs du beatboxer Killa Kela vont populariser cet art au Royaume-Uni dans sa musique faites de programmations rythmiques buccales. En France, ce sont les Saïan Supa Crew qui amèneront concrètement le Human Beatbox à la vue du grand public en combinant scratchs vocaux, reprise en beatbox du tube Ring My Bell et le tube international Angela sur le même album.
Évolution
Simple boîte à rythme à l'origine, au milieu des années 1980, le human beatbox est devenu l'art du DJing buccal, en ajoutant aux rythmes des imitations de scratchs en tout genre et même des samples repris à la bouche.
Dans les années 1990, la tendance est à l'éclectisme et à l'imitation des chansons déjà existantes, certaines sont d'ailleurs très impressionnante de ressemblance avec leur originale.
A la fin des années 1990 le beatbox a évolué à tel point que leurs adeptes arrivent à produire parfois plusieurs sons à la fois. Rahzel commence par chanter If Your Mother Only Knew, d'autres essaient de beatboxer en même temps que de rapper le tout avec une seule bouche.
Dans les années 2000 apparaissent les premiers championnats officiels dont le premier championnat du Monde en 2005 et dont Joel Turner (australie) est ressorti vainqueur. Le premier championnat de France a eu lieu en octobre 2006 avec pour vainqueur L.O.S en solo et PHM (marseille) en équipe. En 2007 c'est le vice champion 2006, Micspawn qui remportera la victoire, et en équipe se sont les tenants du titre qui remporterons une nouvelle fois la place de numéro 1 français en équipe.
Parallèlement à la technique des beatboxers d'aujourd'hui se développe la recherche musicale: Les beatboxers utilisent aujourd'hui leur talent pour créer leur propre musique grâce à des enregistrements studios, des pédales de boucle (qui permet de superposer une infinité de sons les uns sur les autres) ou encore des groupes composés de beatboxers. Les beatboxers adeptes de ces nouvelles techniques, comme l'ont montré Bauchklang et Killa Kela sont, en France, Ezra, PHM,Under Kontrol, Môssieur oXyd & Nitram, Bionic Breath Makers, Sputter Shower, etc.
Le beatbox est utilisé égalment par des artistes qui ne font pas de hip-hop tels que Simeo, Anaïs, Camille ou Nosfell.
Pour Plus d'information cliquez sur le lien : http://www.blogger.com/www.beatboxcontest.fr
Vous pouvez Regarder la couverture médiathéque de la Premiere édition:
La beauté éparpillée de Lahcen Zinoun
Parole de réalisateur« Mon désir en racontant cette histoire -puisqu'il est toujours question de désir- est de couvrir une période obscure de la vie au Maroc au début du siècle précédent en adoptant un point de vue inédit, à savoir celui d'une esclave. Et entre la reconstitution historique rigoureuse et le surréalisme d'un décor de folie, il est question de trouver un équilibre. Et la notion d'équilibre (musical, psychologique, architectural, historique et autobiographique) est au c?ur des pérégrinations d'Oud l'Ward.La mise en images est aussi un processus de mise à l'épreuve de cet équilibre.À la source de la beauté éparpillée, il y a un désir croisé, celui de la musique et de sa signification pour une femme esclave au seuil du siècle précédent qui a connu une vertigineuse descente aux enfers. De la musique comme abstraction de la liberté en quelque sorte. Ce film serait l'occasion d'expérimenter les possibilités d'un genre rare au Maroc, «le biographique». C'est une nouvelle manière narrative ou le visuel prime. Ainsi, la poésie de l'image se mêle à la narration des souvenirs dans un style purement lyrique où la nostalgie prend une dimension esthétique sans que la critique sociale soit pour autant négligée», affirme Lahcen Zinoun.
Scénario: Hicham Lasri, Lahcen Zinoun
Image: Eric Biglietto
Ingénieur de Son: Faouzi ThabetMontage: Mohamed BahiliMusique: Mehdi Halib, Said Chraibi
Production:
Coproduction:
Producteur:
Producteur exécutif:
Directeur de Production:
Directeur Artistique:
Interprétation: Sanaa Alaoui, Mohamed Miftah, Hanane Zouhdi, Chams-Eddine Zinoun, Touria Jabrane, Mohamed Afifi, Hassan Sqalli
90 min, Maroc, 2007Sortie nationale: 2007